Bonjour,
les liens dents-organes ne sont pas stables. La thèse du Dr Orsatelli dans les années 70 à ce sujet se concluait par:
chaque dent peut être reliée à chaque organe, et chaque organe à chaque dent.
Le Dr Roths a continué ces travaux et sur une étude "statistique" a établi des liens plus fréquents entre une dent et un organe. Mais le résultat est inchangé: chaque dent peut se relier à chaque organe.
Mon travail a consisté en premier lieu à montrer que les liens entre dents et organes passaient par une charge émotionnelle qui identifiait la nature du stress vécu. Par ce biais, la structure neurale associe une dent à un conflit émotionnel vécu isolément, et donc refoulé. Le refoulement va alors entrer dans le processus de "conversion", qui bascule une charge psychique émotionnellement trop lourde en expression biologique. L'organe choisi pour décharger la pression émotionnelle est validé par sa position dans la cartographie corporelle établie par le mental fonctionnel, donc par la structure neurale elle-même.
Par exemple: la 46 peut exprimer un conflit de puissance du masculin, et donc se signer par un problème de prostate chez l"homme, un problème musculaire chez tout le monde, un problème des voies aériennes aussi, selon la valeur émotionnelle associée au ressenti d'impuissance et le théâtre dans lequel cela est vécu... Impuissance à faire, à dire, à agir sur le monde, à assurer son "éternité", etc.
Pour conclure, les liens dents organes nous obligent à plonger dans les sentis émotionnels que la conscience éveillée a refoulé, refusant de ressentir ce qui avait été senti. Les dents nous rappellent l'existence de ce monde intérieur empli de ce que notre attention laisse dans l'ombre de la conscience. Car c'est en posant la conscience, donc notre attention, sur ce qui est sombre que nous le mettons en lumière.
En espérant avoir été compréhensible...